Depuis sa création en 1982, Thermibel conçoit des sondes de température électroniques et distribue des instruments de mesure de la température. En 1995, elle se dote d’un laboratoire d’étalonnage accrédité. Et aujourd’hui, le savoir-faire acquis positionne ce spécialiste en leader belge de la fabrication de sondes de température pour l’industrie.
L’idée de la création de Thermibel est née en 1982. Implanté à Strépy-Bracquenies, le spécialiste emploie aujourd’hui 33 salariés. Il propose notamment des thermocouples, des sondes à résistance, des transmetteurs de température et des enregistreurs de données à une clientèle diversifiée active dans l’industrie alimentaire, l’énergie, la chimie, la pétrochimie et la métallurgie. Il y a neuf ans et demi, le spécialiste belge a ouvert sa filiale française Thermimesure à Lille.
Romuald Pistis, directeur général : « Chaque secteur, chaque entreprise a ses propres besoins et spécifications techniques. Grâce à notre savoir-faire, nous sommes en mesure de proposer des produits sur mesure qui répondent aux attentes de nos clients en matière de performance et de fiabilité. Nous concevons et fabriquons nos propres sondes et distribuons les instruments de mesure (calibreurs, fours d’étalonnage, …) de nos partenaires Beamex, Inor et Isotech ».
Longtemps, la conception de sondes de température électroniques et la distribution de matériel lié à la température ont été les deux pôles d’activité de Thermibel, jusqu’à ce que s’ajoute le laboratoire en 1995, accrédité quelque temps plus tard par le BELAC pour les étalonnages (en laboratoire ou sur site) dans une plage de température allant de -100 à + 1 300 degrés Celsius.
Tout arrêt inopiné de la production entraîne un coût significatif pour l’entreprise qui en est victime. Chez Thermibel, ils en sont bien conscients. « Notre responsabilité est de garantir la fiabilité de nos sondes pour éviter les défaillances. Grâce à notre expertise et à notre large stock, nous pouvons réagir dans l’urgence et trouver la solution appropriée dans des délais très courts » confie Romuald Pistis.